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Texte adopté le 15 Mai 2012 par le BN du Snesup et lettre au nouveau président de la République

mercredi 16 mai 2012

TEXTE adopté le 15 Mai 2012 à l’unanimité par le BN :

Le SNESUP-FSU est porteur de longue date de revendications et de
propositions qu’il a diffusées à de multiples reprises, en particulier
dans l’ "Appel du SNESUP pour une rupture profonde et des mesures
immédiates » en janvier 2012. L’objectif du SNESUP est d’obtenir
rapidement les conditions législatives pour mettre en échec les
politiques de droite et les moyens d’un fonctionnement universitaire
permettant le développement de la connaissance et la démocratisation
de l’accès aux études supérieures, pour les étudiants et les
personnels et dans le respect du service public d’enseignement et de
recherche. Il considère que les universitaires doivent construire les
rapports de force dès aujourd’hui pour peser sur les orientations du
prochain gouvernement pour obtenir la satisfaction de leurs
revendications. Parce que l’appel du 30 avril intitulé « Ne pas trahir
2009 : libérer l’université, reconstruire un service public
universitaire pour tous » s’inspire de nos revendications, le SNESUP
apporte son soutien à ces convergences dans le cadre de la recherche
des rapports de force, et appelle à participer à tous les
rassemblements. Il appelle ses sections à porter l’appel du SNESUP et
tous les appels convergents et à débattre dans les établissements.

Lettre-flash n°37

"Monsieur le Président de la République

Avec votre élection, s’achève un quinquennat brutal et injuste, en particulier pour les plus fragiles, et se crée l’espoir d’une réelle politique alternative. L’austérité broie les populations en France comme en Europe, elle accroît les inégalités et fait exploser le chômage, la précarité. Notre organisation syndicale avait explicitement appelé à sanctionner N. Sarkozy, et son bilan désastreux pour les solidarités, marqué par la destruction de notre système de retraite et des services publics et notamment du nôtre. Le pays a besoin, en particulier l’enseignement supérieur et la recherche publics, de réels et importants changements, impliquant la rupture avec les politiques de droite.
La négociation avec les organisations syndicales doit enfin retrouver sa place."

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